De Pascal le 16/10/2012 Je me permets de penser qu'il ne nous appartient pas plus que de tenter d'"équilibrer" les divers abus que nous constatons chaque jour à petite échelle; je ne déverse pas mes déchets dans des coins discrets mais ne peux empêcher ces personnes peu éduquées de le faire, tout comme l'économie d'eau que je pratique à longueur d'année tandis que les voisins lavent leurs deux voitures plusieurs fois dans le mois et changent régulièrement l'eau de la piscine de 220M3 sous prétexte d'utiliser moins de chlore, regarder aux types d'huiles végétales utlilisées dans les préparations culinaires quand on découvre l'étiquetage trafiqué, et j'en passe, je pense qu'il faut relativiser tout en vivant avec le fait qu'une partie (et non des moindres) de la population fonctionne comme la société de consommation le souhaite avec un message trop souvent véhiculé par la pub: "profitez car on ne sait pas de quoi demain sera fait" cette dernière étant à mon sens aussi dangereuse que certaines armes prohibées. Enfin, j'ai vécu 23 ans en milieu rural pour entendre souvent la population agée traiter d"écolos" des personnes provenant de grandes villes venues s'installer là et désireuses de vivre ou de se soigner naturellement et surtout de cultiver leur potager sainement, étonnés par les emplois massifs de divers produits phytos par les agriculteurs et cherchant parmi la population d'anciens de vieilles recettes de remèdes par les plantes, un comble non? Bien à vous, Pascal. |